La Fondation Bernheim porte la volonté de son fondateur de contribuer « à bâtir une société équitable où chacun.e peut poursuivre ses propres aspirations afin de trouver le bonheur et ainsi favoriser une plus grande cohésion sociétale » .
Pour y parvenir, la Fondation se donne pour mission de soutenir des acteurs sociaux dans leur travail en faveur de l’émancipation des jeunesses bruxelloises. Bruxelles est la région la plus pauvre de Belgique, près d’un quart des jeunes y vivent sous le seuil de pauvreté. C’est également une ville extrêmement multiculturelle où près de 190 nationalités différentes cohabitent. Les jeunes qui vivent en ville sont également confrontés à une série de défis particuliers : un accès plus difficile à l’éducation, à l’emploi et au logement ; des enjeux de sécurité ; un stress plus élevé qui a des conséquences sur la santé mentale ; …
La Fondation veut contribuer à une société plus égalitaire, c’est pourquoi elle a fait le choix de focaliser son attention sur les structures qui accompagnent les jeunes issus de milieux à indice socio-économique faible et/ou en situation de vulnérabilité.
Les acteurs de terrain que nous soutenons nous rapportent combien ces jeunes moins favorisés ont une confiance en eux fragile et manquent souvent d’un « capital social et culturel » qui leur permette de se construire un avenir. Nous privilégions dès lors les projets qui travaillent avec les jeunes sur les thématiques suivantes :
La Fondation accorde aussi une importance toute particulière aux projets qui visent à combattre les discriminations dont les jeunes peuvent être victimes.
Nous croyons en une société inclusive et émancipatrice où chacun, chacune doit avoir la possibilité de construire la place qu’il ou elle souhaite.
Nous pensons que le dialogue, l’ouverture et la collaboration sont les conditions d’une paix sociale durable.
Nous considérons que la transdisciplinarité est un puissant levier d’innovation sociale.